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Basket-ball: début de la Super League dans un mois et demi environ

23 août 2016, 08:41

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Basket-ball: début de la Super League dans un mois et demi environ

Fin septembre. Ou au plus tard, début octobre. C’est la période privilégiée par le président de la Mauritius Basket-Ball Federation (MBBF), Hedley Han, et son comité pour lancer la saison 2016-2017 de la Super League.

L’élaboration du calendrier, affirme Hedley Han, s’avère un exercice très compliqué car le gymnase de Phoenix, lieu qui abrite la majorité des matches du championnat national, doit être partagé avec le handball. Mais aussi, quelquefois, avec d’autres associations ou organisations qui y tiennent, après location du site auprès du Mauritius Sports Council, leurs activités, comme le tir à l’arc, le yoga, le ringball, entre autres. «Cela est contraignant tant au bon déroulement de nos compétitions qu’à nos projets de développement», souligne Hedley Han.

Et justement, la nouvelle saison, affirme-t-il, connaîtra probablement quelques projets de développement et des nouveautés. Le nouveau Directeur technique national (DTN), Jean-Paul Rebatet, en exercice depuis le 5 août dernier, travaille actuellement sur un projet visant à redynamiser le championnat national, dans les deux genres, et, par ricochet donc, notre basket-ball.

Hedley Han se montrera circonspect sur les changements qui interviendront. Ceux-ci, dit-il, seront dévoilés dans deux semaines. Soit après que les dirigeants des clubs en auront pris connaissance. Une rencontre à cet effet est prévue dans une quinzaine de jours entre ces derniers, les membres de la MBBF et le DTN.

«Nous voulons améliorer le niveau de notre championnat. Et, une des façons de le faire, est d’assurer une compétition continue. En d’autres mots, une équipe ne peut pas jouer à deux, voire trois semaines d’intervalle puisque cela influe tant sur la motivation que sur la performance des joueurs. Mais en même temps, on le sait tous, il y a des réalités qu’on ne peut négliger. Le partage du gymnase en est une parmi d’autres. Jean-Paul Rebatet prend tout cela en considération. Il a une très bonne connaissance des réalités des pays africains.»

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