Mise à part la baisse de prix de la farine, une baisse qui devrait impacter sur le prix du pain et, probablement des pâtisseries, le budget ne fait aucune provision pour de mesures capables de renforcer le pouvoir d’achats des consommateurs.

Nous attendions du budget qu’elle prévoie  le renforcement du cadre juridique pour la protection des consommateurs, ainsi que celui de la capacité ou l’innovation en termes de la mise en place d’une instance moderne capable d’assurer une meilleure protection des consommateurs. Aucune dotation pour la formulation concrète d’une politique de protection des consommateurs.

Nous déplorons aussi qu’il n’y ait aucune provision pour la mise en place d’une structure capable d’assurer  une meilleure coordination pour la sécurité sanitaire des aliments.

La révision des barèmes de l’Income Tax devra contribuer à réduire le fossé entre les riches et les pauvres, mais son impact sur le pouvoir d’achat  sera minime. En ce qui concerne la negative income tax, il nous faudra attendre sa mise en place dans la réalité pour mesurer ses effets.