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Exhibitionnisme et vitres brisées: le confinement n’adoucit pas les relations de voisinage !

13 avril 2021, 11:45

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Exhibitionnisme et vitres brisées: le confinement n’adoucit pas les relations de voisinage !

«Voisin, voisine» c’était il y a 21 ans… En version confinement, cela donne des plaintes à la police.

Une coiffeuse a porté plainte au poste de Montagne-Blanche, lundi 12 avril. Son voisin aurait descendu son pantalon pour lui montrer ses bijoux de famille. Quant à l’homme, il a déposé une «precautionary measure».

«Si mo gagn twa mo viol twa», aurait lancé le trentenaire à sa voisine. Dans sa déposition, celle-ci a déclaré que son voisin, qui tient un barber shop, lui aurait montré ses «parties intimes» alors qu’elle se trouvait dans son jardin. Elle s’est sentie humiliée par son geste indécent et ses mots.

Ce dernier, lui, est parti faire une déclaration contre la coiffeuse pour dire que sa voisine, depuis son salon, lui aurait dit «gete mem bhaye looke, taler mo pou pran mo mari pou al met enn case kont twa.»

A Cité-La-Cure, cette fois, c’est la musique qui n’adoucit pas les mœurs. Un homme n’a pas apprécié que sa voisine ait appelé la police pour se plaindre qu’il mettait la musique à fond samedi soir.

La sexagénaire a porté plainte ce samedi-là, au poste d’Abercrombie, Sainte-Croix, pour pollution sonore, aux alentours de 22 h 30. Selon sa version, il y avait une fête chez son voisin. Il mettait la musique à fond. Une équipe de policiers s’est déplacée pour parler à cet homme. Il a accepté de baisser le volume.

Mais aussitôt les policiers partis, il aurait remonté le son encore plus fort, se serait mis en colère et aurait cherché des explications avec cette voisine. Il aurait même lancé des pierres sur sa maison, brisant deux panneaux de vitres.

La plaignante a pour témoin sa fille, présente à ce moment. La police d’Abercrombie a ouvert une enquête pour dommages.

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