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Apavou: «On ne vend pas un hôtel comme on vend une voiture»
27 février 2014, 12:47
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Apavou: «On ne vend pas un hôtel comme on vend une voiture»

«Pour vendre un hôtel, il faut l’autorisation de plusieurs ministères. On ne vend pas un hôtel comme on vend une voiture», a déclaré Armand Apavou hier, mercredi 26 février, lors d’une conférence de presse à La Cannelle, au Domaine Les Pailles. Le président-directeur général (P.-DG) du groupe Apavou s’est dit «surpris» par la façon dont la vente de ses quatre hôtels a été conclue.
Armand Apavou a rappelé qu’un accord avait déjà été trouvé pour la vente des trois hôtels situés au Morne; à savoir l’Indian Resorts & Spa, le Mornea et le Moreva. Il a ajouté que grâce à cet accord, le groupe allait pouvoir régler 75% de ses dettes qui s’élèvent à Rs 2,2 milliards, quand d’un coup, à partir du 7 janvier, il y a eu toute une «précipitation».
«Un délai aussi court est hors normes»
«Un appel d’offres international a été lancé, donnant 15 jours aux investisseurs intéressés pour formuler une proposition. Donner un délai aussi court pour réunir des offres substantielles et ignorer les propositions reçues par le groupe est hors norme et inacceptable», estime le P.-DG du groupe Apavou.
Faisant référence au remboursement des dettes, Armand Apavou devait aussi déplorer que le groupe supporte un taux moyen d’intérêts de 12,5%. Par contre, s’est-il insurgé, ses principaux concurrents payent 6,5% «alors que leur dette par chambre est de trois fois, voire quatre fois, supérieure à celle du groupe».
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