Il faut encourager les élèves des Forms V et VI à aller en classe jusqu’à la mi-octobre. C’est ce que soutient l''''Union of Private Secondary Education Employees (UPSEE).

C’est l’appel lancé par Yahya Paraouty, président de l’UPSEE. L’objectif, c’est de permettre à ces élèves de terminer le programme scolaire et de passer ensuite aux révisions.

La crainte de ce syndicat comme celle des autres partenaires de l’éducation a trait aux carences du système de rattrapage qui a été établi. Ainsi l’Association d’élèves, parents d’élèves et enseignants des écoles du Bureau de l’Education Catholique (BEC) émet de nombreuses réserves.

Concernant la grippe A, c’est toujours le silence du côté des autorités concernant le nombre de personnes atteintes. A ce chapitre, Maurice est une nouvelle fois cité et égratigné par la presse étrangère. Après lemonde.fr qui évoquait les conclusions de l’épidémiologiste Flahaut, le Journal de l’Ile de la Réunion en remet une couche.

Cet article de nos confrères de l’île Sœur décrit la situation épidémiologique chez nous comme étant floue. Entre soins sommaires, des hôpitaux et Flu Clinic débordés et consultations privées, le journal réunionnais souligne l’aspect économique de cette épidémie.

En effet, les moyens dont disposent les citoyens mauriciens seraient déterminants pour la guérison. Car, seuls les fortunés peuvent prétendre à une assurance privée et une consultation privée. Toujours selon cet article, ce serait la raison pour laquelle les habitants se ruent dans les hôpitaux, là où les soins sont gratuits et universels.