L’événement cinématographique cette semaine en Europe a été la sortie de la première partie du très attendu «Harry Potter et les reliques de la mort », le septième et dernier opus de la saga maintenant devenue mythique.

Nous y retrouvons les trois héros du roman éponyme de J.K Rowling, Harry Potter, Ron Weasley et Hermione Granger, embarqués dans une mission des plus périlleuses et ardues : retrouver et détruire les Horcruxes, artefacts magiques conférant l’immortalité à l’ennemi juré des trois jeunes sorciers, Voldemort.

Ce dernier réunit d’ailleurs ses fidèles sbires, les Mangemorts, et parvient à prendre le contrôle du Ministère de la Magie. Ils traquent, torturent et tuent tout opposant, faisant régner la terreur dans le monde magique.

Harry Potter découvre aussi l’existence de trois objets, d’une puissance incommensurable, et octroyant à leur détenteur des pouvoirs stupéfiants : les Reliques de la mort. Si jamais Voldemort réussissait à s’en emparer, il deviendrait alors indestructible.

Dans ce septième épisode, à l’atmosphère plus sombre que les épisodes précédents, le réalisateur David Yates mêle avec habileté mystère, drame, action et humour, le tout ponctué d’effets spéciaux à couper le souffle.

Le film s’adresse avant tout aux fans inconditionnels de la saga, se révélant parfois confus et lassant pour le spectateur non-initié au monde de J.K Rowling.