«Ils sont retenus sans liberté conditionnelle parce qu’ils s’opposent à la politique actuelle», soutient Alain Bertrand du comité de soutien en faveur de Nitin Chinien et Jameel Peerally. Lors d’une conférence de presse, ce vendredi 29 novembre, le comité a réclamé la libération des deux hommes qu’il estime être des «prisonniers politiques».

«Le comité de soutien et la famille déplorent l’action de l’Etat. Nous entrons dans une nouvelle ère où la supposée démocratie est en train de produire des prisonniers politiques.»C’est ce qu’a déclaré Alain Bertrand lors d’une conférence de presse ce vendredi 29 novembre, en soutien à Nitin Chinien et Jameel Peerally, arrêtés le 14 novembre et le 27 novembre respectivement.

«Ils sont retenus sans liberté conditionnelle parce qu’ils s’opposent à la politique actuelle», ajoute Alain Bertrand. Le comité de soutien prévoit plusieurs actions pour réclamer la libération des deux prisonniers, dont des manifestations qui seront pacifiques. «Tout sera fait dans la légalité», soutient Alain Bertrand.