Dévoilé cette semaine par Axess, le dernier-né de Range Rover allie lignes dynamiques et silhouette élancée.

Sa silhouette, présente depuis peu sur nos routes, ne passe pas inaperçue. Il suffit de voir les têtes qui se tournent sur le passage de la Range Rover Evoque pour comprendre le fulgurant succès du dernier-né du constructeur britannique. Pas étonnant, donc, que le représentant local de la marque, Axess, ait souhaité marquer le coup cette semaine lors du lancement officiel de l’Evoque. A ce jour, six heureux propriétaires ont déjà craqué pour ce luxueux SUV. Et cela se comprend.

Car visuellement, l’Evoque se veut être l’expression la plus modernisée du blason Range. Aux certitudes stylistiques rassurantes et à la distinction des Range Rover et Range Rover Sport, le nouveau venu ajoute des lignes toujours massives mais désormais beaucoup plus dynamiques, en phase avec l’air du temps.

Lignes tendues, hauteur maintenue (1,61 m pour le Coupé 1,64 m pour la 5 portes), phares effilés et calandre ostentatoire, l’Evoque offre un look dévastateur ainsi que des proportions inédites : seulement 4,35 m de long mais une largeur de 2,13 m (1,97 m rétros rabattus). Et en impose tout autant auprès des conducteurs. Incontestablement, il y aura clairement un avant etun après Evoque chez les SUV compacts. Pas étonnant dès lors que Land Rover songe à en faire sa nouvelle signature stylistique.

Et si à l’extérieur le charme opère, il en est de même à l’intérieur. Serait-ce l’effet « Victoria Beckham » ? Elle a en effet été désignée consultante pour le design intérieur de ce Baby Range. L’histoire ne dit pas quelles sont les touches personnelles qu’elle a apportées mais en tout cas, l’habitacle de l’Evoque est on ne peut plus valorisant.

Au même moment, à Genève, le constructeur présentait son tout dernier concept, la Range Rover Evoque décapotable. Et si ce nouveau Baby Range a fait sensation, aucune date de production n’a pour l’heure été arrêtée. Mais vu l’accueil reçu par ce modèle, nul doute que cela ne saurait tarder.

Guillaume Gouges
(l’express-dimanche, 4 mars 2012)