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Robert Pattinson élégant, et Christina Ricci étincelante, pour défendre Bel Ami
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Robert Pattinson élégant, et Christina Ricci étincelante, pour défendre Bel Ami

C''''est un Robert Pattinson sans le cheveu qui est apparu à Berlin, ce vendredi 17 février, lors du photocall du film Bel Ami, dont il tient le rôle principal, dans le cadre du 62e Festival du film qui s''y tient.
Ce qui a provoqué la surprise de nos confrères allemands, c''est surtout le look très négligé qu''affichait la star de la saga Twilight... Nos amis d''Adobuzz osent même le terme de "pouilleux" pour qualifier R-Pattz. Ça, c''est pas sympa pour celui qui a fait baver des millions d''adolescentes Biactol à travers le monde.
Heureusement, c''est bien plus élégant qu''il est apparu face à des centaines de fans déchaînés, quelques instants plus tard, sur le tapis rouge. Entouré de Christina Ricci, étincelante au sens propre comme au figuré, et Holliday Grainger, à qui il donne la réplique dans le film, l''acteur âgé de 25 ans présentait ce film hors compétition.
Adapté du célèbre roman éponyme de Guy de Maupassant, on doit ce long métrage attendu sur les écrans français pour le 27 juin 2012 au duo de réalisateurs britanniques Declan Donnellan et Nick Ormerod.
Lors de sa venue sur le tapis rouge, Robert Pattinson a fait une surprenante déclaration... A quelques mois de la sortie de l''ultime volet de la saga qui l''a rendu célèbre, Twilight - Chapitre 5 : Révélation - 2e partie, il affirme être désormais trop vieux pour incarner le fameux vampire Edward Cullen : "Je serais curieux de voir ce que l''auteure aurait pu écrire comme suite, mais je suis trop vieux pour ces choses-là. Ça fait un moment que je le suis !" Ne cracherait-il pas un peu dans la soupe ?
Loin de ces "Twilighteries", la compétition fait rage pour l''obtention du célèbre Ours d''or remis à l''issue du Festival international du film de Berlin. Pour la première fois depuis 2004, un film allemand semble en bonne position pour remporter la précieuse récompense puisque Barbara, de Christian Petzold, (...)
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