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Théâtre : Arthur Miller à nos portes

Un jeune homme veut épouser la petite amie de son frère porté disparu pendant la Seconde Guerre mondiale. Climax saisissant signé Arthur Miller. Intrigue de All my sons, pièce écrite en 1947.
Paroxysmes de l’émotion qui guident la mise en scène d’Ashish Beesoondial, (photo) chargé de cours au département Performing Arts au Mauritius Institute of Education (MIE). A l’occasion des 40 ans de l’institution, il s’empare de All my sons. Les représentations sont prévues du 8 au 12 juin à 19 h 30 à l’Alliance française à Bell Village.
Si l’une des raisons ayant motivé le choix de All my sons est que cette pièce est inscrite au programme du School Certificate, Ashish Beesoondial se défend de vouloir en faire une adaptation scolaire. «Nous voulons d’abord jouer la pièce pour le grand public et ensuite animer des ateliers-performances avec les élèves».
L’intrigue repose sur les relations père et fils qui se détériorent et, «comment le passé détermine le présent», analyse le metteur en scène. Keller, le père, presque 60 ans, est un homme d’affaires, «but with the imprint of the machine-shop worker and boss still upon him», décrit Arthur Miller au début de l’acte un. Un rôle confié à Sobhanund Seeparsad. Son fils, Chris, «thirty-two, like his father, solidly built, a listener. A man capable of immense affection and loyalty », sera joué par Deepak Ramsurrun. Deux figures connues des planches et du petit écran.
«Cette fois nous avons des comédiens d’expérience et qui ont l’âge de leur personnage », explique Ashish Beesoondial. Pour sa part, il s’est réservé un petit rôle, pour se concentrer sur la mise en scène. Et le remaniement d’un texte marqué par des références à la Seconde Guerre mondiale.
Le reste de la distribution se compose de deux professeurs du collège Lorette de Rose-Hill : Karen d’Eau-Sundanum et Joann Permall, un instituteur, Josias Anthony, un autre chargé de cours du MIE, Nuckiren Pyeneeandee, une collègue du Mahatma Gandhi Institute, Ruby Govinden et une aspirante enseignante, Helina Hookoomsing-Dookhee. «Ce sont des gens qui, j’en suis sûr, vont faire passer ce travail sur l’improvisation et l’émotion dans le système, là où ils sont», estime Ashish Beesoondial
*Les représentations sont gratuites. Réservation recommandée. Tel : Midou 789-2484 et Kayoun 756-0378.
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