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Xindix Night Club : Sarish Samputh interpellé après une descente policière

21 octobre 2013, 05:01

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Xindix Night Club : Sarish Samputh interpellé après une descente policière

 

Ils auraient eu des renseignements selon lesquels des mineurs se trouvaient à la discothèque Xindix. Et des policiers ont interpellé Sarish Samputh, le propriétaire, ainsi que Sudeer Basdeo, le gérant, vendredi soir. Ces derniers devraient retourner au poste de police de Curepipe, ce lundi 21 octobre. Ils seront probablement présentés en cour.
 
C’est la présence de mineurs dans sa boîte de nuit, vendredi soir, qui aurait poussé la police de Curepipe à agir. Sarish Samputh, le propriétaire de la discothèque Xindix, a été emmené manu militari au poste de police de Curepipe. Le gérant de la boîte de nuit, Sudeer Basdeo, ainsi que deux jeunes de 17 ans et deux adolescents «qui étaient à l’extérieur en compagnie de leur oncle», selon Sarish Samputh, ont également été interpellés.
 
Après environ deux heures passées au poste de police, ils ont tous été autorisés à rentrer sans qu’aucune charge ne soit retenue contre eux. Sarish Samputh et Sudeer Basdeo devront, toutefois, retourner au poste de police de Curepipe, ce lundi 21 octobre. Ils seront probablement présentés en cour, où des charges provisoires seront instruites contre eux.
 
Contacté hier par l’express, le propriétaire de la discothèque a raconté qu’une cinquantaine de policiers auraient débarqué à la discothèque, peu avant 23 heures, vendredi soir, «pour un contrôle de permis». Les policiers reprochent également au directeur du Xindix Night Club d’avoir employé un agent de sécurité qui n’a pas de permis pour exercer ce métier.
 
Sarish Samputh s’est dit serein et a affirmé que son entreprise n’a jamais fonctionnée dans l’illégalité. «N’ayant rien trouvé à nous reprocher au niveau de la régularité de nos activités, ils se sont rabattus sur la présence de deux jeunes de 17 ans qui suivent des cours de deejaying chez nous. Ils veulent nous accuser d’avoir employé des mineurs. Il n’a jamais été question d’emploi mais de formation», a-t-il déclaré.

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